Nous sommes allés passer quelques jours à l'Ile d'Oléron.

Disons le de suite, on n'a pas été très emballés, mais on est contents d'y être allés et de connaitre un peu cette ile.

Un bon point tout de même, il y avait pas loin du camping un viticulteur avec notamment du pineau, du vin...  

Il y a pas mal de pistes cyclables qui permettent notamment de circuler dans des zones de marais, et d'anciens marais salants.

C'est vrai qu'il y a eu surtout une journée où nous avons bien profité de balades en vélo (environ 50 km).

Mais, s'il y a beaucoup de pistes cyclables, il n'y en a quasiment pas le long des routes. Et comme on est souvent obligés de passer sur la route, sachant qu'elles sont assez étroites et qu'il y a pas mal de voitures, cela refroidit.

 Au nord de l'ile, il est possible de monter en haut du phare de Chassiron (224 marches).

L'intérêt c'est bien sûr la vue.

Pas très rassurée Françoise. Avec son vertige, elle s'accroche à la barre.

 Par contre, ce qui nous a emballé, c'est Fort Louvois, situé à gauche du viaduc en sortant d'Oléron.

Ce fort, bien sûr conçu par Vauban, est accessible à pied à marée basse.

Vue du fort sur un parc à huitres et le viaduc. 

Il est possible de visiter certaines pièces.  

Au fait, pour ceux qui ne connaissent pas le mot Latrines, voici la définition de Wikipedia :

"Les latrines (nom féminin pluriel) sont un endroit aménagé de telle sorte qu'un être humain puisse s'y soulager de ses déjections corporelles, notamment par la défécation".

     A marée haute.

A marée haute, une navette permet d'y accéder.

Sur cette photo, ce n'est pas la navette mais un bateau d'ostréiculteurs.

C'est une région d'huitres (les Marennes Oléron), et nous avons eu droit à un ballet de bateaux d'ostréiculteurs rentrant au port à marée montante. (photo Françoise) 

Ce sont des bateaux à fond plat. (photo Françoise) 

Certains restent dans le port.

D'autres sont emmenés sur des remorques tirées par des tracteurs.

C'est vrai que le fort et toute cette activité des ostréiculteurs était très chouette à voir.

Au fait, on n'a jamais mangé d'huitres à Oléron...

Comme à Dubai, le Qatar crée des iles artificielles.

The Pearl; avec ses immeubles, ses pontons pour bateaux de plaisance (peu occupés aujourd'hui).    

Il y a quand même quelques bateaux.

Un cormoran.    

Bien sûr des travaux.

En balade à the Pearl.

Nous sommes allés également au village culturel de Katara.

L'extérieur d'un théatre de plein air.

 L'intérieur du théatre de plein air.

Vue sur des immeubles.

Création de collines artificielles.

Une touriste...

En fait il n'y a pas beaucoup de touristes au Qatar. En général, les gens viennent pour voir de la famille, ou des amis.

 Nous avons fait une balade en canoé dans la mangrove.

Comme il n'y avait pas beaucoup d'eau, il a parfois fallu descendre du canoé pour le pousser. 

Nous avons pu également nous baigner.

Finalement, on a vu pas mal de choses au Qatar...

Je suis plusieurs fois rentré du souq par la corniche, qui longe la mer bien sûr.

Il y a un port avec des bateaux appelés dhow. A Abu Dhabi, c'étaient pour la plupart des bateaux de pêche. ici ils sont plûtot destinés aux loisirs, balades.

     Ils avaient en général une excroissance à l'arrière qui semble être les toilettes.

 Le musée des arts islamiques

Vue de la corniche sur les immeubles près du quartier de Fanch et Line.

En fer de lance cette tour, dont les lumières changeaient. Françoise l'appelait "le doigt", pas Fanch...  

Encore des tours avec des architectures diverses, et des lumières.

Près du souq, le centre culturel islamique.

Des immeubles vus des gradins du stade où avait lieu une compétition de tennis féminin.  

Un taxi, reconnaissable à sa couleur. Les taxis ne sont pas chers pour nous.

Les taxis "officiels" avaient donc cette couleur bleu clair. C'est la partie haute qui permet de différencier les compagnies.

Nous avons été surpris d'avoir des chauffeurs de taxi qui ne connaissaient pas Doha. Pour l'un d'eux, c'était sa première journée à Doha. Il ne connaissait même pas la corniche, pourtant incontournable à  Doha, longue de plusieurs kilomètres avec une large promenade, alors qu'il en était à quelques centaines de mètres.

Comme ils n'avaient pas de GPS, nous les avons guidés... 

Un centre commercial, le Villagio. Il n'était pas à ciel ouvert, c'est un décor. L'ensemble faisait d'ailleurs décors de cinéma.

Des petites gondoles circulaient pour les touristes sur le petit canal. Nous avons été surpris de ne pas voir le gondolier utiliser sa perche ou rame, en fait la gondole est électrique...

Dans celui-là, il y avait pas mal de magasins de luxe, mais aussi un Carrefour qui très présent au Qatar. 

Quant au tournoi de tennis, il y avait la présence de 8 sur les 10 meilleures joueuses mondiales.  

Par exemple la russe Maria Sharapova (numéro 3), ici dans une position classique au service.

Une photo moins classique...

Victoria Azarenka (numéro 1 mondiale à ce moment là, numéro 2 aujourd'hui derrière Serena Williams).

Nous avons vu des quarts de finale. Le stade n'est pas très grand, et bien que nous étions en haut des gradins, nous pouvions bien voir le jeu. Mais nous étions un peu loin pour bien voir les expressions des joueuses.

Et cela pour 6 € la place...

De nouveau à l'occasion des fêtes de fin d'année des sculptures sur glace ont été faites aux nefs de Nantes.

Après les animaux marins des dernières années, c'est monde végétal le thème de cette année. 

 Une sauterelle.

Un papillon.

Un  hanneton.

Un caméléon.

Une chenille.

 Un escargot.

  Une mante religieuse.

Une guêpe? Une cigale? ...

Une plante carnivore.

Au fil des années, les sculptures sont de plus en plus travaillées, avec plus de détails. On n'imaginerait pas qu'elles sont essentiellement faites à la tronçonneuse.

Voilà trois sculpteurs que nous voyons depuis plusieurs années : à droite Emmanuel Bourgeau, au centre David Slaviero et à gauche Fabien Leduc.

 A ma connaissance, Emmanuel Bourgeau est le responsable. Il est sculpteur sur bois de métier.

 Parfois on est surpris de l'évolution de sculptures. Par exemple à ce stade, je voyais un lapin, et je n'étais pas le seul.

Finalement, c'est une plante.

Ces jours ci, les sculpteurs sont allés exercer leurs talents à Marseille.

 Dans le cadre du "Voyage à Nantes", Royal de Luxe présente son spectacle "Rue de la Chute" : Fall Street..

Bien différent des spectacles de rue, ce n'est pas un spectacle pour tous. Comme l'indique Jean-Luc Courcoult, suite aux critiques suscitées par l'affiche montrant un cheval pendu (ou suspendu!), "ce n'est pas les bisounours"...

Voici un lien sur le site Nantes.fr, mais il y a beaucoup d'infos sur internet : http://nantes.fr/culture/actualites-culturelles/levoyageanantes/royal_rue_de_la_chute

L'histoire du cheval est celle d'une "expédition au cours de laquelle un cheval fit une chute dans un ravin. Les hommes qui y descendirent pour récupérer le matériel sanglé sur l'animal, y découvrirent une mine d'or et une ville y poussa comme un champignon".

C'est donc un Western, avec ses cow boys, ses indiens, ses filles de saloon, ses morts...   

Le spectacle (gratuit) a lieu (pendant 2 semaines) dans la cour du chateau des ducs, les spectateurs sont sur des gradins ou assis par terre sur des bouts de moquette pour les derniers arrivés. La capacité est d' environ 1200 places. Trop peu pour les accrocs de Royal de Luxe, la file d'attente a commencé plus de 2h30 avant le début du spectacle.

Voici donc la scène.

Ce n'est pas un reportage, mais je veux juste montrer quelques scènes.

Ce n'est pas l'affiche, mais pas d'inquiétude pour les amateurs de chevaux, ce n'est pas un vrai, mais c'est très réaliste.

Fall Street.

Un cow boy sur son cheval style Royal de Luxe.

 Bien sûr il y a des pendus.

 La mère  maquerelle a besoin d'uriner.

 Le chariot de filles de saloon en déplacement . Remarquez les tapis roulants pour simuler les déplacements...

Bien blessé !

Sacré masque.

    L'homme-jambon qui s'en coupe une tranche.

 L'arrivée du télégraphe.

Les filles de saloon.

 Un moment poétique du spectacle.

La mère maquerelle dans son cercueil. Elle s'est elle même fermé les yeux, avant de resssortir     

Une belle pluie (sur la scène seulement).

Le morceau de rail est un combiné téléphonique... 

Le colt de poche.  

Efficace ce colt. 

 Jean-Luc Courcoult,  le créateur, metteur en scène... de Royal de Luxe.