Depuis plusieurs années a lieu à Nantes la coupe de monde de baby foot.
La compétition rassemble plus de 30 pays du monde entier : entre autres France, Allemagne, Pays-bas, Slovaquie, USA, Turquie, Cameroun, Canada, Nigeria, Afrique du Sud....
Comme première photo, voici Frédéric Collignon, un belge, qui domine actuellement la spécialité. Il a gagné en simple, double et par nation.
Il y a également des compétions pour handicapés.
Ils ont des tables adaptées pour pour les fauteuils.
Ce n'est pas une présentation de cette compétition que je souhaite faire , mais plutôt montrer quelques looks, attitudes et expressions. Comme vous pourrez le constater, j'ai surtout suivi l'équipe de france féminine.
Alice Denmanivong (capitaine) et Marie-Jo Ninine de l'équipe de france qui a fait 2è de la compétition par équipes nationales, battues de peu en finale par les allemandes. Cette photo a été prise dans la compétition double femmes.
Une Néerlandaise Tessa Otten-Kerhof.
Elle est arbitre, slovène. Elle n'est pas en train de consulter les sms sur son iphone, mais elle chronomètre les détentions de balles. Il faut tirer avant 15 secondes. Et il en faut de la dexterité pour en permanence remettre le compteur de l'iphone à zéro à chaque changement de possession de balle...
Une polonaise, debout sur une estrade, qui suivait une rencontre dont le résultat concernait son équipe.
Une américaine en train de fixer une poignée. Chaque joueur a ses propres poignées qui sont mises en place pour chaque match.
Une autre américaine en cours de match.
L'angoisse en suivant un match. 4 filles de l'équipe de france, de gauche à droite : Anaïs Noël (pas très expressive contrairement à d'autres), Angélique Lecourtois, Marine Pohl, et Alice Denmanivong. Aves les lunettes, c'est le coach Nicoles Laumonier.
Cinderella Poidevin, plûtot très expressive, autant en jouant qu'en suivant les matchs.
Après la victoire : à qui est ce bras?
Il n'y a pas que les joueurs à voir.
Un photographe avec son objectif de dernière technologie.
Il faut tenir la pause.
Pour finir, il ne faut pas oublier Farid Lounas, le grand organisateur de cette compétition (ici en discussion avec un allemand).